Sâj : les galettes libanaises n'ont qu'à bien se tenir

Les mets de chef étoilé aussi peuvent être appréciés lorsqu’ils sont mangés avec les mains. Pour preuve, les galettes libanaises généreusement garnies et cuites minute sur un markouk (plaque légèrement bombée) à s’envoyer chez Sâj, nouveau comptoir street-food de la toque Alan Geaam.

C’est son enfance bercée par les saveurs levantines qui ont donné naissance à cette adresse. Le chef étoilé Alan Geaam a fait de la traditionnelle galette libanaise appelée sâj un lèche-doigts des plus copieux.

Sa pâte réalisée à partir d’un mélange de farine de blé et de maïs se fait dorer la pilule sur un markouk avant d’accueillir une kyrielle d’ingrédients frais. Halloumi et saucisse soudjouk; zaatar, huile d’olive, concombre, menthe et cébette; kefta d’épaule d’agneau, oignons rouges, persil et houmous… Toutes se dégustent encore chaudes, accompagnées pour nous d’un petit labneh venant apporter une touche de fraîcheur qui n’est pas pour déplaire.

Et si l’on souhaite compléter son repas sur le pouce, des mezzés de chez Qasti (autre adresse de la toque franco-libanaise) sont à retrouver à la carte. Parmi ces derniers, les incontournables baba ganoush et houmous ainsi que les makanek à la mélasse de grenade, petites saucisses d’agneau poêlées et épicées.

-> Galette à partir de 7, 90 €.

Journaliste
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Anouchka Crocqfer
Anouchka est journaliste chez Mint Magazine. Passée dans les colonnes de L'Express Styles, du Parisien, de Néon, et de Bon Temps elle arpente les rues à la recherche de nouvelles tendances lifestyle.

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