Le chef étoilé nous embroche un coin avec son nouveau casse-dalle à la sauce berlinoise.
L’ater-ego street-food de sa table Neso lancé pendant les semaines de couvre-feu s’entiche d’un nouveau must-eat, le kebab. Dans un pain à la farine de maïs s’invitent : agneau confit, kimchi, herbes fraîches, fêta, sauce piquante, pickles, huile d’ail des ours et confit de citron. Inutile de préciser que le döner de la guerre ici c’est le sourcing impeccable des produits cher à Guillaume Sanchez, tout comme le soin apporté à la préparation de ces derniers. Pour compléter la formule, « pot de chips » — que l’on retrouvait déjà aux côté du fish and chips toujours à la carte — et dessert des plus coquins, sarrasin, miel et praliné dans l’esprit d’un magnum en pot.